21 décembre 2008
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On aurait pu
l'appeler Mère courage, cette Stéfania qui se dépensait sans compter pour sa famille et son village.
Ni une suite d'Ignenzi ou les cafards, ni un roman, c'est le portrait exutoire d'une mère fait par sa fille qui tente de chasser les fantomes d'un passé trop lourd. Ce passé , c'est le génocide Rwandais qui part de bien avant 1994. Dans une description quasi ethnographique du quotidien d'une famille déplacée, son auteur témoigne de la vie quotidienne.
Ni une suite d'Ignenzi ou les cafards, ni un roman, c'est le portrait exutoire d'une mère fait par sa fille qui tente de chasser les fantomes d'un passé trop lourd. Ce passé , c'est le génocide Rwandais qui part de bien avant 1994. Dans une description quasi ethnographique du quotidien d'une famille déplacée, son auteur témoigne de la vie quotidienne.